En 1832, après les désastres de la révolution de juillet, qui détruisit plusieurs fortunes aristocratiques soutenues par la Cour, Mme la princesse de Cadignan eut l’habilité de mettre sur le compte des événemens politiques la ruine complète due à ses prodigalités.
- Voulez-vous vous trouver un soir avec d’Arthez chez moi ? demanda la marquise, vous causerez de votre revenant.
- Volontiers, ma chère.
Le feuilleton est publié dans le rez-de-chaussée dans la rubrique « Feuilleton de La Presse ». Sous-titre de l'ouvrage : « Scène de la vie parisienne ». Le chapitre I est intitulé « Le bilan d'une jolie femme ». Le chapitre II est intitulé « Le dernier mot de deux grandes coquettes ». Dédicace : Dédié à mon ami Théophile Gautier.
Remarque d'ouverture : « Cette nouvelle est exceptée de tout traité relatif à la reproduction, et toute réimpression serait poursuivie comme contrefaçon. ». Remarque de clôture : « (La suite à demain.) ».
Note sur l'état du journal : on ne distingue pas bien la dernière phrase ni le nom de l'auteur, puisque le coin en bas de la troisième page est coupé.