Quelques jours après cette conversation, il y eut chez Mme d’Espard une de ces soirées dites de petits jours, réservées pour les intimes, auxquelles personne ne vient que sur une invitation verbale, et pendant lesquelles la porte est fermée.
Quand deux amies peuvent se tuer réciproquement, et se voient un poignard empoisonné dans la main, elles offrent le spectacle touchant d’une harmonie, qui ne se trouble qu’au moment où l’une d’elles a, par mégarde, lâché son arme.
Le feuilleton est publié dans le rez-de-chaussée dans la rubrique « Feuilleton de La Presse ». Sous-titre de l'ouvrage : « Scène de la vie parisienne ». Le chapitre III est intitulé « d'Arthez. ». Dédicace : Dédié à mon ami Théophile Gautier.
Remarque de clôture : « (La suite à demain.) ».