Lorsque Franz revint à lui, les objets extérieurs semblèrent une seconde partie de son rêve, il se crut dans un sépulcre où pénétrait à peine, comme un regard de pitié, un rayon de soleil; il étendit la main et sentit de la pierre; il se mit sur son séant, il était couché dans son burnous sur un lit de bruyères sèches, fort doux et fort odoriférant.
L'hôtelier s'assit, après avoir fait à chacun de ses futurs auditeurs un salut respectueux, lequel avait pour but d'indiquer qu'il était prêt à leur donner sur Luigi Vampa les renseignemens qu'il demandaient.
Publié dans la rubrique « Feuilleton du Journal des Débats. » Cet extrait fait partie de la deuxième partie du roman. Le trente-deuxième chapitre est intitulé « Réveil. » Le trente-troisième (p. 2) est intitulé « Bandits romains. » Remarque de clôture : « (La suite à mercredi.) »