Date du feuilleton:
08 septembre 1838
Première phrase du feuilleton:
Les vagues montaient jusqu'au parapet de la jetée et roulaient sur les grèves, en mugissant leur terrible flux de galets, comme des décharges d'artillerie : la tempête était dans toute sa force et la mer paraissait si terrible qu'on avait des craintes sérieuses pour le sort des bâtimens qui venaient de mettre à la voile et qui se trouvaient encore en vue des côtes.
Dernière phrase du feuilleton:
M. Ferron ne chercha pas à la joindre et reprit le cours de ses idées lugubres, qui aboutissaient à un duel ou à un suicide.
Remarques:
Publié dans la rubrique « Feuilleton du Siècle. » Histoire conjugale et commerciale. Il y a une citation au début de chaque chapitre. Remarque de clôture : « (La suite à demain.) »