Le Figaro publie une note sur Finette le 11 aout 1872 (en haut de page 1) : « Nos lecteurs se souviennent de notre regretté feuilletonniste, Gontran Borys (Eugène Berthoud), mort presque subitement au moment où il préparait pour le Figaro un roman nouveau, dont le sujet promettait beaucoup : Les Paniers percés. A défaut de cette œuvre de longue haleine, nous pourrons du moins publier de lui un roman intitulé : Finette. C'est une œuvre de jeunesse que nous avions acquise et que nous avions ajournée pour faire place à ses romans de longue haleine. On retrouvera dans ce feuilleton les qualités du talent original de Gontran Borys : situations ingénieuses, peintures vraies, intérêt sans cesse grandissant. C'est une histoire très lestement racontée, charpentée comme un mélodrame, et gaie comme un vaudeville du Palais-Royal. Nous en commencerons demain la publication. »
Mention : « Roman posthume ».